Second épisode de notre web-série de CARNET DE VOYAGE NARRATIF 🙂 Mais un carnet de voyage narratif, kézako ? Allez, on ré-explique le concept une dernière fois : C’est une série de mini épisode nous permettra de partager avec vous les coulisses de nos voyages. Ce format nous permet de vous raconter nos aventures, nos galères, nos découvertes et surtout les drôles d’anecdote que le voyage nous a offert sur notre route. Vous pouvez découvrir toutes nos vidéos sur notre compte YouTube en cliquant sur le magnifique GIF de chat volant ci-dessous :

Aujourd’hui on vous fait découvrir avec notre tandem la route incroyable qui relie Mocoa à Neiva ! Nous nous arrêtons à Fronteriza, un minuscule village composé de 4 maisons, d’un pont, d’un canyon et d’un couvert. Le lendemain il pleut fort…. Même très fort et le dénivelé positif de 1500 mètre nous permet seulement de faire une étape de 60 kilomètres avant de nous poser dans le village de San Juan de Villalobos. Le jour suivant la pluie continue de plus belle. Nous roulons pendant 5h30 sous ce déluge puis arrivons dans la petite ville de Pitalito. Nous sommes piégé dans une sorte de manifestation chrétienne anti-gay. Nous tentons tant bien que mal de nous frayer un chemin jusqu’à la caserne de pompier la plus proche, afin de trouver un hébergement gratuit. Nous visitons le parc archéologique de SAN AUGUSTIN et ces fameuses sculptures de pierre inscrite au patrimoine mondiale de l’UNESCO. De Pitalito, nous changeons de département et rejoignons la région d’Altamira, connus pour ces Achiras. Des sortes de petits biscuits salés faits à base de farine et de fromage frais. Le lendemain nous continuons notre route jusqu’à Gigante. Nous arrivons finalement à Neiva sous une chaleur de plomb et tentons de nous faire héberger par les pompiers.

• Salut à tous, bienvenue sur ce 2^ème épisode de nos carnets de voyage narratif !
• Après le fameux « trampolin de la muerte » et 2 jours de repos à Mocoa nous reprenons la route.
• Dans l’après-midi nous nous arrêtons à Fronteriza, un minuscule village composé de 4 maisons, d’un pont et d’un couvert.
• Les habitants sont réunis dans ce couvert afin de parler de la promotion touristique d’un magnifique canyon situé à quelques minutes du village.
• Vous l’aurez compris, on arrive un peu là par magie.
• Ils nous proposent d’installer nos tentes dans leur abri à la fin de la réunion et en échange, nous mangeons dans leurs petite cahute/restaurant et allons visiter le fameux canyon.
• Les femmes du village nous prépare des petits plats et les gens nous dévisagent comme si nous étions des véritables martiens.
• Le lendemain il pleut fort…. Même très fort et le dénivelé positif de 1500 mètre nous permet seulement de faire une étape de 60 kilomètres avant de nous poser dans le village de San Juan de Villalobos.
• Nous rencontrons sur un terrain de foot le prêtre du village et il accepte de nous prêter pour la nuit une salle de l’église. Nous posons nos tentes dans cette grande salle paroissiale et la fête peut commencer.
• Le jour suivant la pluie continue de plus belle. Nous roulons pendant 5h30 sous ce déluge puis arrivons dans la petite ville de Pitalito.
• Nous sommes piégé dans une sorte de manifestation chrétienne anti-gay. Euh pardon, pour la famille et les valeurs !
• Bref nous tentons tant bien que mal de nous frayer un chemin jusqu’à la caserne de pompier la plus proche, afin de trouver un hébergement gratuit.
• Nous optons finalement pour un chambre d’hôtel dans un quartier plutôt douteux afin de profiter d’un espace au chaud. On en profite même pour cuisiner un délicieux gâteau, et ça, sans déclencher les détecteurs de fumée !
• Nous prenons aussi le temps de visiter le parc archéologique de SAN AUGUSTIN et ces fameuses sculptures de pierre inscrite au patrimoine mondiale de l’UNESCO.
• De Pitalito, nous changeons de département et rejoignons la région d’Altamira, connus pour ces Achiras. Des sortes de petits biscuits salés faits à base de farine et de fromage frais. Un vrai délice 🙂
• Nous passons la nuit dans le village d’Altamira qui est spécialement en fête ce soir-là. Nous découvrons la musique et les danses typique de la région de Huila.
• Le lendemain nous continuons notre route jusqu’à Gigante. Les paysages sont sublimes et la chaleur commence à nouveau à se faire ressentir.
• Le soir, la protection civile un peu à l’écart du village nous accueil. Nous dormons sous tente dans une salle de cours surveillé par des chiens agités par notre présence plutôt atypique.
• Le matin, nous nous levons de bonne heure et attaquons 94km de route. Nous traversons de nombreuse rizière et plantation d’ananas. Des paysans nous font signe et Alexi reçoit alors gracieusement des ananas fraichement récolté.
• Nous arrivons finalement à Neiva sous une chaleur de plomb et tentons de nous faire héberger par les pompiers. C’est un refus mais ces derniers tiennent à nous offrir des fruits de l’arbres à noix de cajou. Le fruit en question est vraiment pas terrible et nous assèche la bouche et c’est pas Anysia qui vous dira le contraire.
• Merci d’avoir suivi ce nouvelle épisode. On vous donne rendez-vous très prochainement pour partager la suite de nos aventures.
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